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Vérifié le 01 janvier 2023 – Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)
Autres cas ?
Pour un Algérien
L’étranger qui souhaite entrer en France pour travailler doit avoir une autorisation de travail. Elle peut prendre la forme soit d’un visa ou d’un titre de séjour, soit d’un document distinct du document de séjour. C’est le futur employeur qui effectue la demande. Des sanctions sont prévues en cas d’emploi d’un salarié sans autorisation. Nous vous expliquons les étapes à suivre.
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Attention
si vous êtes citoyen d’un pays européen: titleContent, andorran, monégasque, de Saint-Marin, vous n’êtes pas concerné.
La démarche par étapes
L’étranger est concerné par la demande d’autorisation de travail s’il souhaite travailler en tant que salarié en France. Peu importe la nature du contrat de travail (privé ou public) et sa durée.
Néanmoins, certains étrangers sont dispensés de l’obligation de faire une demande d’autorisation de travail.
Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquement
Un visa de long séjour valant titre de séjour (ou une carte de séjour) vie privée et familiale permet d’exercer la profession de son choix. L’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
En première délivrance, la validité du VLS-TS ou de la carte de séjour vie privée et familiale est d’1 an. Elle permet d’exercer toute activité professionnelle auprès de tout employeur, en France métropolitaine: titleContent et départements d'outre-mer: titleContent.
Ces dispositions ne sont pas applicables, sauf exception la 1re année, pour la famille du résident de longue durée – UE en provenance d’un autre pays de l’Union européenne.
Une carte de séjour “salarié” permet d’exercer l’emploi qui a permis de l’obtenir.
Si l’étranger change de contrat de travail, l’employeur devra demander une nouvelle autorisation de travail.
Chaque nouveau contrat de travail devra faire l’objet d’une autorisation de travail.
Le visa de long séjour valant titre de séjour salarié et la carte de séjour salarié permettent d’exercer l’activité figurant sur le contrat de travail auprès d’un employeur déterminé dans une zone géographique. Ils peuvent permettre également cette activité dans toute la France métropolitaine: titleContent si l’emploi proposé figure sur la liste des métiers en tension: titleContent.
Une carte de séjour “travailleur temporaire” permet d’exercer l’emploi qui a permis de l’obtenir.
Si l’étranger change de contrat de travail, l’employeur devra demander une nouvelle autorisation de travail.
Chaque nouveau contrat de travail devra faire l’objet d’une autorisation de travail.
Le visa de long séjour valant titre de séjour (ou la carte de séjour) travailleur temporaire permet d’exercer l’activité figurant sur le contrat de travail auprès d’un employeur déterminé dans une zone géographique. Ils peuvent permettre également cette activité dans toute la France métropolitaine: titleContent si l’emploi proposé figure sur la liste des métiers en tension: titleContent.
Une carte de séjour “travailleur saisonnier” permet d’exercer l’emploi qui a permis de l’obtenir.
Si l’étranger change de contrat de travail, l’employeur devra demander une nouvelle autorisation de travail.
Chaque nouveau contrat de travail devra faire l’objet d’une autorisation de travail.
La carte de séjour pluriannuelle travailleur saisonnier permet d’exercer l’activité saisonnière figurant sur le contrat de travail auprès d’un employeur déterminé dans une zone géographique déterminée. Le 1er contrat de travail doit être supérieur à 3 mois.
Une carte de résident (ou carte de résident longue durée – UE) permet d’exercer la profession de son choix. L’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
La carte de résident et la carte de résident longue durée – UE permettent d‘exercer toute activité professionnelle, auprès de tout employeur, en France métropolitaine: titleContent et départements d'outre-mer: titleContent.: titleContent
Une carte de séjour passeport talent permet d’exercer l’activité professionnelle ayant justifié sa délivrance. L’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Une carte de séjour salarié détaché ICT permet d’exercer l’activité pour laquelle elle a été obtenue.
La carte de séjour pluriannuelle salarié détaché ICT permet d’exercer l’activité liée à la mission en France auprès d’un employeur déterminé dans une zone géographique.
Avec un VLS-TS (ou une carte de séjour) étudiant, l’étranger peut travailler maximum 60 % de la durée annuelle du travail (964 heures) sans autorisation de travail.
Il est possible, sous certaines conditions, de travailler au-delà de cette limite.
Le visa de long séjour valant titre de séjour étudiant et la carte de séjour étudiant permettent d’exercer toute activité professionnelle dans la limite de 964 heures/an (60 % de la durée annuelle légale du travail) auprès de tout employeur en France métropolitaine: titleContent.
Avec une carte de séjour recherche d’emploi ou création d’entreprise, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Cette carte autorise l’étranger à séjourner en France.
Elle l’autorise également à chercher et à occuper un emploi en relation avec sa formation ou ses recherches. La rémunération de l’étranger doit être supérieure à2 563,92 €.
Sa durée de validité est de 12 mois.
Avec une autorisation provisoire de séjour (APS), le jeune diplômé d’un Master n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Cette APS autorise le jeune diplômé d’un Master à chercher et à occuper un emploi en relation avec sa formation ou ses recherches.
Sa rémunération doit être supérieure à 2 563,92 €.
Avec un récépissé portant la mention “autorise son titulaire à travailler”, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
L’activité professionnelle est possible dans les mêmes conditions que le titre de séjour qu’il anticipe.
Si l’étranger a un visa vacances-travail, il bénéficie automatiquement de l’autorisation de travail, sauf s’il est australien ou russe.
Si l’étranger est un salarié détaché en France et travaille pour un prestataire de services européen: titleContent, il n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
Si la prestation est inférieure ou égale à 3 mois, l’étranger n’a pas besoin d’autorisation de travail.
L’étranger doit demander une autorisation de travail avant de débuter son activité.
Elle est délivré aux étudiants dont les nationalités sont couvertes par un accord bilatéral de gestion des flux migratoires.
La validité et la possibilité de renouvellement varient en fonction de l’accord.
L’autorisation provisoire de séjour permet toute activité dans le France métropolitaine pendant la recherche d’emploi dans la limite de 60 % du temps de travail annuel.
Elle permet d’exercer l’activité mentionnée sur le document auprès d’un employeur déterminé dans une zone géographique déterminée. Sa durée de validité est de 12 mois maximum.
Si l’autorisation de travail a été délivrée dans un département d'outre-mer: titleContent ou dans une collectivité ou un territoire d'outre-mer: titleContent, elle n’est valable que dans ce département, cette collectivité ou ce territoire.
Si l’étranger est titulaire d’une telle autorisation et souhaite travailler en métropole, il doit obtenir une nouvelle autorisation de travail. Il n’a pas à demander l’autorisation de travail s’il a une carte de résident, une carte de séjour vie privée et familiale ou une carte de séjour carte bleue européenne.
Dans ces 3 cas, il doit signaler son changement d’adresse en préfecture. Un nouveau titre de séjour de même durée mentionnant la nouvelle adresse lui sera remis.
À savoir
les demandeurs d’asile qui n’ont pas reçu de réponse à leur demande avant 6 mois peuvent aussi introduire une demande d’autorisation de travail. Ils doivent produire une attestation d’introduction d’une demande d’asile depuis plus de 6 mois.
L’autorisation de travail est accordée lorsque la demande remplit l’une des conditions suivantes :
La démarche s’effectue par internet sur ce service en ligne :
Demander en ligne une autorisation de travail pour embaucher un étranger
L’employeur doit vérifier le titre qui autorise l’étranger à travailler en France auprès de la préfecture du lieu d’embauche au moins 2 jours ouvrables: titleContent avant la date effective d’embauche.
Si l’étranger est inscrit sur la liste des demandeurs d’emploi de Pôle emploi, l’employeur n’a pas de vérification à effectuer.
En pratique, l’employeur doit envoyer un mail avec en pièce jointe la copie (scan) du titre valant autorisation de travail. À la demande du préfet, il peut être exigé la production par l’étranger du document original.
Le préfet notifie sa réponse à l’employeur dans un délai de 2 jours ouvrables à partir de la réception de la demande. Sans réponse dans ce délai, l’obligation de l’employeur de s’assurer de l’existence de l’autorisation de travail est considérée accomplie.
Il est interdit à tout particulier ou toute personne morale (entreprise, association, etc.) d’embaucher ou de conserver un travailleur étranger sans autorisation de travail.
L’emploi illégal d’un étranger est un délit passible de sanctions pénales (peine de prison, amendes et peines complémentaires comme l’interdiction d’exercer).
Pôle emploi pour les employeurs – 3995
Numéro unique pour les entreprises, les artisans, les commerçants et les employeurs qui souhaitent recruter, déposer une offre d’emploi et obtenir des informations sur le recrutement et les aides à l’embauche
Par téléphone
39 95
Le lundi et jeudi de 7h35 à 13h10 et 13h30 à 16h50, le mardi et mercredi de 7h35 à 13h15, le vendredi de 7h35 à 11h25
Numéro gris ou banalisé : coût d’un appel vers un fixe et service gratuit, depuis un téléphone fixe ou mobile
Depuis l’étranger (entreprises frontalières par exemple), composer le +33 1 77 86 39 95
Pour accorder ou refuser l’autorisation de travail, l’administration examine un ensemble d’éléments.
L’administration analyse la liste des métiers en tension dans la profession et le bassin d’emploi concernés.
Si l’étranger a une carte de séjour étudiant ou une carte de séjour recherche d’emploi ou création d’entreprise, l’administration vérifie qu’il remplit bien les exigences de diplômes et de qualifications posées par l’offre d’emploi, au vu des documents suivants :
Elle examine le salaire proposé, qui doit être au moins égal au Smic: titleContent ou à la rémunération minimale prévue par la convention collective (même en cas d’emploi à temps partiel).
Elle tient également compte des critères suivants :
La décision intervient dans un délai maximum de 2 mois suivant le dépôt de la demande complète.
Elle est notifiée: titleContent à l’employeur.
L’employeur transmet ensuite cette décision à l’étranger.
À noter
si la demande d’autorisation de travail concerne un demandeur d'asile, l’administration a 2 mois pour rendre sa décision. Si l’administration n’a pas répondu dans ce délai de 2 mois, la demande est acceptée.
La décision intervient dans un délai maximum de 2 mois suivant le dépôt de la demande complète.
Si l’administration n’a pas répondu dans ce délai de 2 mois, la demande est refusée.
Elle est notifiée: titleContent à l’employeur.
L’employeur transmet ensuite cette décision à l’étranger.
En cas de refus écrit, la décision doit en préciser les raisons. Elle doit indiquer les voies et délais de recours.
La demande est rejetée si un ou plusieurs critères pour la délivrance de l’autorisation de travail ne sont pas remplis. C’est le cas si l’employeur peut faire appel à la main d’œuvre disponible en France.
À noter
si la demande d’autorisation de travail concerne un demandeur d'asile, l’administration a 2 mois pour rendre sa décision. Si l’administration n’a pas répondu dans ce délai de 2 mois, la demande est acceptée.
Un recours gracieux peut être formé auprès de l’administration qui a pris la décision (adresse communiquée sur la notification du refus).
Un recours hiérarchique peut aussi être présenté auprès de la Direction de l’immigration du ministère de l’intérieur.
Un recours en annulation devant le tribunal administratif est aussi possible. Pour être recevable, il doit être déposé dans certains délais et contenir une copie de la décision de refus.
En l’absence de recours gracieux ou hiérarchique, le délai pour saisir le juge est de 2 mois à partir de la notification de rejet de la demande d’autorisation de travail ou du refus implicite.
Tant que le recours n’a pas été traité, la décision de refus s’applique. Toutefois, un référé suspension ou un référé liberté peut être déposé.
Lorsque l’autorisation de travail est accordée, l’employeur doit payer une taxe dont le montant est fixé en fonction du niveau de rémunération du travailleur étranger.
Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquement
Le montant de la taxe varie selon le salaire mensuel brut versé :
Montant du salaire mensuel brut
Montant de la taxe
Inférieur ou égal à 1 709,28 € (Smic: titleContent)
74 €
Entre 1 709,28 € et 2 563,92 €
210 €
Supérieur à 2 563,92 €
300 €
Le montant de la taxe varie selon le salaire mensuel brut versé :
Montant du salaire
Montant de la taxe
Inférieur à 4 273,21 €
55 % du salaire mensuel brut
Supérieur ou égal à 4 273,21 €
2 350,26 €
L’employeur doit payer la taxe dans les 3 mois qui suivent la délivrance :
L’employeur paye la taxe à l’Ofii: titleContent.
L’Ofii lui envoie un avis de paiement.
La taxe doit être payée dès réception de l’avis et ce, même si le salarié n’est pas encore arrivé sur le territoire français.
À noter
cette taxe ne s’applique pas aux ressortissants européens, puisqu’ils bénéficient d’une liberté de circulation et d’établissement en France.
En cas de réponse favorable à la demande d’autorisation de travail, l’étranger doit passer une visite médicale. La procédure à suivre diffère selon que l’étranger réside déjà en France ou non.
Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquement
En cas de réponse favorable à la demande d’autorisation de travail, l’administration transmet le dossier de l’étranger à la représentation de l’Ofii: titleContent à l’étranger concernée.
La représentation de l’Ofii à l’étranger concernée convoque l’étranger pour passer une visite médicale avant son entrée en France. S’il est déclaré apte, l’Ofii transmet son dossier au consulat de France concerné pour la délivrance de son visa.
Une fois arrivé en France, l’étranger doit :
Valider un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) et payer la taxe
En cas de réponse favorable à la demande d’autorisation de travail, l’administration transmet le dossier de l’étranger à la direction de l’Ofii: titleContent compétente en France.
Une fois entré en France, l’étranger doit :
Une fois le visa validé ou la demande de carte de séjour déposée, l’étranger sera convoqué à l’Ofii pour passer la visite médicale obligatoire.
Valider un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) et payer la taxe
L’étranger reçoit une autorisation provisoire de travail s’il a un des documents suivants :
Si le contrat de travail dépasse 3 mois, l’étranger est aussi convoqué pour passer la visite médicale à l’Ofii.
Répondez aux questions successives et les réponses s’afficheront automatiquement
Si l’étranger a un visa de long séjour valant titre de séjour (VLS-TS) délivré après obtention d’une autorisation de travail, l’employeur doit demander le renouvellement de l’autorisation de travail dans les 2 mois avant la fin de validité de VLS-TS.
L’étranger doit ensuite déposer sa demande de titre de séjour à la préfecture ou la sous-préfecture de son domicile dans les 2 mois avant la fin de validité de son VLS-TS.
Liste des pièces à joindre pour demander une autorisation de travail
L’employeur doit joindre à sa demande un certain nombre de documents.
La liste des documents à fournir varie en fonction du titre de séjour détenu par l’étranger.
La demande de renouvellement est examinée comme la 1re demande d’autorisation de travail. Il n’y a pas de renouvellement automatique.
Si, lors du 1er renouvellement, l’étranger demande à occuper un emploi dans un métier ou une zone géographique différents de ceux mentionnés sur son autorisation initiale, l'ensemble des critères exigés pour une 1re demande peut être examiné.
L’autorisation de travail est renouvelée dans la limite de la durée restant à courir du contrat de travail ou de la mission qu’il reste à accomplir en France.
En cas d’accord sur la demande, l’étranger reçoit une 1re carte de séjour.
La demande de renouvellement peut être refusée si l’étranger se trouve dans l’une des situations suivantes :
En cas de refus de renouvellement, l’étranger reçoit normalement un refus de séjour assorti d’une obligation de quitter la France (OQTF), sauf s’il peut bénéficier du séjour à un autre titre (par exemple pour raison familiale).
Si l’étranger a une carte de séjour délivrée après une demande d’autorisation de travail, l’employeur doit demander le renouvellement de l’autorisation de travail avant la fin de validité de sa carte.
L’étranger doit ensuite déposer sa demande de titre de séjour à la préfecture ou la sous-préfecture de son domicile, dans les 2 mois qui précèdent la fin de validité de sa carte de séjour.
Se renseigner sur le site internet de la préfecture. Certaines préfectures exigent, en effet, du demandeur qu’il présente sa demande de renouvellement jusqu’à 5 mois avant la fin de validité de sa carte de séjour pour fixer un rendez-vous.
L’employeur doit joindre à sa demande un certain nombre de documents.
Ces documents varient suivant qu’il s’agit d’une 1re demande de renouvellement ou non, que l’emploi qu’il va occuper est le même ou non que celui à l’origine de sa 1re autorisation de travail, et selon son statut de travailleur.
La demande de renouvellement est examinée comme la 1re demande d’autorisation de travail. Il n’y a pas de renouvellement automatique.
Si, lors du 1er renouvellement, l’étranger demande à occuper un emploi dans un métier ou une zone géographique différents de ceux mentionnés sur son autorisation initiale, l'ensemble des critères exigés pour une 1re demande peut être examiné.
L’autorisation de travail est renouvelée dans la limite de la durée restant à courir du contrat de travail ou de la mission qu’il reste à accomplir en France.
En cas d’accord sur la demande, l’étranger reçoit une 1re carte de séjour.
La demande de renouvellement peut être refusée si l’étranger se trouve dans l’une des situations suivantes :
En cas de refus de renouvellement, l’étranger reçoit normalement un refus de séjour assorti d’une obligation de quitter la France (OQTF), sauf s’il peut bénéficier du séjour à un autre titre (par exemple pour raison familiale).
L’employeur doit déposer sa demande sur internet dans les 2 mois avant la fin de validité de l’autorisation provisoire de travail de l’étranger.
Demander en ligne une autorisation de travail pour embaucher un étranger
L’employeur doit joindre à sa demande un certain nombre de documents.
Ces documents varient suivant qu’il s’agit d’une 1re demande de renouvellement ou non, que l’emploi que l’étranger va occuper est le même ou non que celui à l’origine de sa1re autorisation de travail, et selon son statut de travailleur.
La demande de renouvellement est examinée comme la 1re demande d’autorisation de travail. Il n’y a pas de renouvellement automatique.
Si, lors du 1er renouvellement, l’étranger demande à occuper un emploi dans un métier ou une zone géographique différents de ceux mentionnés sur son autorisation initiale, l'ensemble des critères exigés pour une 1re demande peut être examiné.
L’autorisation de travail est renouvelée dans la limite de la durée restant à courir du contrat de travail ou de la mission qu’il reste à accomplir en France.
En cas d’accord sur la demande, l’étranger reçoit une 1re carte de séjour.
La demande de renouvellement peut être refusée si l’étranger se trouve dans l’une des situations suivantes :
En cas de refus de renouvellement, l’étranger reçoit normalement un refus de séjour assorti d’une obligation de quitter la France (OQTF), sauf s’il peut bénéficier du séjour à un autre titre (par exemple pour raison familiale).
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Renseignement administratif par téléphone – Allo Service Public
Pour plus d’informations sur ce sujet, vous pouvez contacter Allô Service Public.
Coût : service gratuit
Les informateurs qui vous répondent appartiennent au ministère de l’intérieur.
Attention : le service n’a pas accès aux dossiers personnels des usagers et ne peut donc pas renseigner sur leur état d’avancement.
Le service est accessible aux horaires suivants :
Être rappelé(e)
Service en ligne
Pas du tout
Un peu
Moyen
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L’équipe service-public.fr vous remercie pour votre réponse
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