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L’île polynésienne l’a emporté face à quatre sites situés en métropole. Une décision prise sur le « critère sportif », explique le comité d’organisation.
Les épreuves auront lieu sur le site de Teahupoo. 
Temps de lecture : 2 min
Il faudra donc aller à 15 000 kilomètres de Paris pour assister aux épreuves de surf des Jeux olympiques 2024. Le comité d’organisation des Jeux olympiques (Cojo) de la capitale a tranché, privilégiant les vagues de l’île polynésienne, au détriment de trois candidatures dans le sud-ouest de la métropole et une en Bretagne. Les épreuves de shortboard, disputées par 24 hommes et 24 femmes, auront lieu sur le site de Teahupoo, connu pour offrir l’une des vagues les plus puissantes, spectaculaires et périlleuses au monde, ont décidé les membres du conseil d’administration de Paris 2024, qui rassemble les parties prenantes des JO (Cojo, État, collectivités, mouvement sportif).
Ce choix doit être validé par la commission exécutive du Comité international olympique (CIO), le 8 janvier. « C’est une surprise hyper agréable et la reconnaissance de notre histoire, c’est redonner ses titres de noblesse à la Polynésie où le surf a débuté », a réagi auprès de l’Agence France-Presse le président de la fédération tahitienne de surf, Lionel Teihotu.
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Située dans l’océan Pacifique sud, à 15 000 kilomètres de Paris, avec un décalage horaire de douze heures, l’île polynésienne, étape du circuit pro masculin de surf, était en concurrence avec trois sites dans le sud-ouest de la métropole (Biarritz, Lacanau et Hossegor-Seignosse-Capbreton) et un en Bretagne (La Torche). Selon le Cojo, les critères de coût financier ou d’impact environnemental ne permettaient pas de distinguer nettement les candidatures, mais « le critère sportif » a fait la différence. Teahupoo offre des garanties nettement plus fortes d’avoir une houle suffisante pour des vagues optimales durant la période estivale, a expliqué le Cojo, qui a commandé une étude à Météo-France.
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Ce choix pose néanmoins question, car Teahupoo n’est pas surfé par les femmes dans le cadre de leur circuit professionnel, la vague étant jugée à l’heure actuelle trop dangereuse pour la catégorie féminine. « On peut placer les filles à un moment de la journée où les vagues sont moins puissantes, on a les moyens de prévoir ça maintenant, et ça permettra aux filles de surfer aussi Teahupoo », estime Lionel Teihotu.
« L’ensemble des 48 athlètes participant aux compétitions auront ainsi l’opportunité de vivre la deuxième semaine des Jeux depuis le village olympique, au cœur de leur délégation, à Paris et en Seine-Saint-Denis, et de participer à la cérémonie de clôture », a par ailleurs précisé Paris 2024. Le CA du Cojo a également approuvé jeudi le choix de la place de la Concorde pour accueillir, sur la quinzaine olympique (26 juillet, 11 août 2024) cinq sports urbains : skateboard, BMX freestyle, breakdance, basket 3×3, escalade.
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Et combien de licenciés à Tahiti… Pour faire plaisir à qui ? Pour aller la-bas… Impact écologique en voyages d’avions liées à cet événement… Il est où le ministère chargé de l’environnement… Il laisse faire… Qu’elle farce ! A moins qu’il y aille en pédalo afin de limiter les dégâts écologiques
Dès lors que Paris-Comme pour la voile qui aura lieu à Marseille-ne pourra accueillir cette épreuve, et que La plus belle vague au monde s’abat sur les côtes d’une île française, cette décision est ingénieuse et légitime. Bravo !
S’ils ont les mêmes syndicats qu’en métropole il faudra prévoir des remous. Nos CGTistes, UNSA, FO, Sud et autres CFDT sont mêmes capables de bloquer les vagues tahitiennes pour se faire entendre
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