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EN IMAGES – Sacré sur tout le continent, l’éléphant d’Asie n’en est pas moins une espèce en grand danger. Niché dans la jungle de bambou du Triangle d’or, en Thaïlande, un camp de luxe propose une émouvante expérience avec ces pachydermes et leurs mahouts, pensionnaires d’une fondation dédiée à la sauvegarde de l’animal.
Sans marquer l’arrêt à Chiang Rai où un avion nous a posé une heure plus tôt, nous sommes passés quasi sans transition de la trépidante Bangkok aux paysages de montagnes nimbées de brume du nord thaïlandais. Dix minutes de navigation sur une rivière en lacets à bord d’un «long-tail» achèvent de planter le décor de nos aventures futures. Nous accostons au ponton du Four Seasons Tented Camp Golden Triangle laissant la Ruak – la rivière Bambou – filer droit vers le Mékong.
Une volée de marches mène à un petit abri en bois auquel est suspendu un gong monumental que notre hôtesse thaï nous invite à frapper de trois coups: le premier pour la santé, le second pour la prospérité, le troisième pour la longévité. «Une tradition du camp», glisse-t-elle dans un sourire. Sans doute aussi une façon de préparer la scène qui se jouera quelques instants plus tard. Débarrassés de nos valises, nous atteignons une grande terrasse suspendue à flanc de colline qui fait office de lobby au moment où deux éléphants montés par leurs mahouts viennent à notre rencontre. Un homme nous tend un panier de bananes…
Après une brève hésitation – nous sommmes impressionnés par ce volumineux comité d’accueil -, la bonne humeur efface toute appréhension quand deux trompes agiles et fouineuses se tendent vers nous ondulant comme deux serpents ivres. Bien que le nord de la Thaïlande recèle d’autres atouts – s’y concentre, à la frontière du Laos et de la Birmanie, la plupart des minorités ethniques qu’on peut rencontrer dans cette partie de l’Asie, Hmong et Yao, Akha, Lisu et Lahu sans oublier les Karen, les seuls à n’avoir jamais trempé dans le trafic d’opium -, c’est pour ces éléphants que nous sommes venus jusqu’ici, après qu’une vidéo nous a incités à découvrir comment une fondation et un hôtel de luxe pouvaient interagir pour contribuer à la sauvegarde de leur espèce.
Cette vidéo dévoilant le processus du phajaan, rituel ancestral qui consiste à briser l’esprit d’un éléphant par la torture pour obtenir sa soumission, a suscité récemment un tollé d’indignation chez les internautes. Toute sa vie durant, l’éléphant ainsi domestiqué n’aura d’autre choix que de subir. Pour qu’il obéisse et apprenne toutes sortes de pitreries qu’on vend aujourd’hui aux touristes dans le grand barnum des rues de Phuket ou de Pattaya – un rôle bien moins noble que celui que leur faisaient jouer des millénaires plus tôt les Hannibal, les Alexandre le Grand et les rois rivaux d’Ayutthaya et de Birmanie dans leurs furieuses batailles -, l’éléphant passera un sale quart d’heure.
Le poids d’une nacelle, additionné à celui de trois voire quatre passagers, lui broiera le dos, dépassant la centaine de kilos qu’il peut supporter. La chaleur du bitume lui brûlera les pattes, la cacophonie des voitures l’effraiera. Et à chaque réaction intempestive de l’animal, un coup à l’endroit stratégique, celui par lequel la douleur s’est sournoisement insinuée jusque dans son cerveau durant le phajaan, ravivera le souvenir de l’horreur vécue. Et qu’il ne voudra jamais plus connaître… Un cauchemar à la Pavlov.
Tout ceci n’est pourtant pas nouveau. Au pays du sourire, les éléphants pleurent depuis longtemps. Dans un article de son magazine paru en 2002, le World Wild Fund (WWF) évoquait ces dérives comme le facteur aggravant d’une situation déjà bien périlleuse pour l’éléphant d’Asie. L’organisation, active sur le terrain depuis bientôt quarante ans, rappelait les principales menaces qui pèsent sur l’espèce: la destruction et le morcellement de son habitat, ainsi que le braconnage. En un siècle à peine, la Thaïlande a en effet perdu 75 % de son couvert forestier tandis que, la démographie galopant et ce particulièrement en Asie, l’homme colonise toujours davantage de terrain pour ses propres besoins.
Aussi une lutte pour l’espace vital est-elle engagée et dans laquelle l’animal a bien peu de chance de sortir victorieux. Leurs chemins migratoires coupés, les groupes se sont isolés, provoquant un appauvrissement génétique susceptible de fragiliser leur système immunitaire. Quant au braconnage, il concernait déjà les mâles tués pour leurs défenses ou leur viande – réduisant d’autant les capacités de reproduction de l’espèce -, il cible désormais les bébés attendrissants dont est friande l’industrie touristique.
Depuis que la Thaïlande a interdit l’abattage des arbres en 1989, suite aux terribles inondations qu’elle venait de subir, les mahouts ont perdu leur travail, mais pas leurs éléphants. Et un éléphant n’est pas un caniche nain. Par nécessité biologique, il mange l’équivalent d’environ 6 à 8 % de son poids par jour. Ce qui peut représenter, pour un spécimen adulte, jusqu’à 200 kilos de nourriture qu’il faut acheter quotidiennement. Privés de ressources, nombre de mahouts n’ont eu d’autres choix que de se tourner vers le tourisme pour subvenir à leurs besoins. Ces dernières années, le pays a enregistré des taux records de visiteurs étrangers, ils étaient plus de 22 millions en 2012 avec, parmi eux, un nombre croissant de Chinois… Des norias de touristes pour à peine deux milliers d’éléphants captifs (ils ne sont plus que le double à l’état sauvage dans le pays) susceptibles de les divertir… Et l’homme d’exploiter le filon en allant capturer illégalement de très jeunes animaux sauvages dans les forêts birmanes voisines, pour les revendre des dizaines de milliers de dollars à des jeunes qui s’improvisent mahout mais n’ont plus grand-chose à voir avec ceux d’autrefois…
Ces vingt dernières années, de nombreux sanctuaires et fondations ont été créés à travers toute l’Asie, souvent par des étrangers touchés par le sort des pachydermes. La Golden Triangle Asian Elephant Foundation est l’une d’elles. Née en 2006 sous l’impulsion de l’anglais John Roberts, son action repose sur le postulat que les mahouts, plutôt que d’être conspués pour acte de barbarie ou déchus de leurs droits sur l’animal, doivent au contraire être soutenus, revalorisés et encadrés. Le mahout, comme maillon essentiel de la sauvegarde du mastodonte?
Une hypothèse qui s’appuie sur différentes expériences. Roberts a par exemple démarré son programme en achetant des éléphants négligés ou maltraités avant de se rendre compte qu’une fois débarrassé de sa bête, le mahout courait s’en procurer un autre. Complexe et illusoire aussi, l’idée de relâcher purement et simplement des animaux «sauvés» de la rue ou d’un camp de bûcherons clandestins. Leurs chances de survie dans un milieu naturel qui se réduit comme peau de chagrin sont minimes et les parcs et réserves où ils pourraient trouver refuge sont trop petits pour garantir la pérennité d’autres hardes de géants herbivores.
En s’appuyant sur deux partenaires hôteliers 5 étoiles, le Four Seasons et l’Anantara, la fondation, qui abrite 26 éléphants, assure à leurs conducteurs un revenu qui leur permet à la fois de nourrir leur famille et de prendre soin de leur animal aussi bien que leurs pairs le faisaient il y a des siècles, si l’on s’en réfère au manuel de dressage rédigé sous le règne de Rama II au début du XIXe siècle. L’idée n’est pas, comme dans certains pseudo-centres de réhabilitation (il en existe plus d’une centaine rien qu’en Thaïlande), de proposer aux voyageurs de longs trekkings harassants pour le dos de l’éléphant ou des spectacles anachroniques (matchs de foot pachydermiques et autres cascades) mais une véritable interaction avec l’animal qui débute par un premier repas de bananes vite avalé…
Sri sera mon coach. Phuang Peth, une femelle de 40 ans au regard bienveillant, ma compagne durant les deux prochains jours. Au programme: initiation au métier de mahout et petit trek, à cru sur l’encolure de l’animal, jusqu’au Sun Peak, point culminant du domaine et site idéal pour admirer le coucher du soleil en sirotant une coupe tandis que l’animal ira goûter les plantes alentour avec son mahout. Puis le lendemain, marche dans la jungle jusqu’à la rivière pour une baignade collective et visite des installations de la fondation, check-up médical en compagnie d’un vétérinaire et rencontre avec les familles des mahouts et leurs aînés, dépositaires de cérémonies.
Mais avant cela, il faut s’équiper! On nous conduit sur des sentiers de bois jusqu’à nos chambres. Elles sont toutes identiques: 54 m2 de raffinement sous tente et moustiquaire, 37 m² de terrasse pour admirer, à l’horizon, les montagnes du Laos ; à leurs pieds, le Mékong et, en contrebas du lodge, une vaste plaine ombragée où les éléphants au repos déambulent à l’aube et en fin d’après-midi, broutant paisiblement herbes, arbustes et bambous au milieu des queues de renard évanescentes, tecks et bois de rose. Parfois, sur l’autre rive de la Ruak, des villageoises accompagnent leur troupeau de buffles pour qu’ils s’abreuvent. Cette proximité avec des communautés locales explique que les éléphants gardent leurs chaînes dans la plaine – inutile de courir le risque d’un affrontement malheureux -, mais elles sont suffisamment longues pour ne pas gâcher leur plaisir.
Nous revêtons la tenue officielle du stagiaire mahout, ample au niveau des cuisses pour enjamber plus facilement l’énorme corps de l’éléphant, guêtres pour protéger les mollets du frottement et de la rudesse du contact avec ses poils, crocs en plastique aux pieds. Nous nous rendons au camp des éléphants situé au pied d’une colline où s’accroche le bar lounge, face à la frontière birmane cette fois. Sur le chemin, un pont suspendu franchit une minivallée creusée d’un bassin pour les éléphants. Une fois le pont passé, prendre à gauche (la droite, ce sera pour aller au spa, une prochaine fois), puis une courte marche amène au site où, sous un immense préau, les animaux patientent à l’ombre. Face à l’abri, un terrain planté de hauts piquets de bois entre lesquels il faudra slalomer une fois sur l’animal en tentant de mémoriser les commandes vocales et gestuelles adéquates.
Approche en douceur de l’animal. Phuang Peth me regarde, curieuse. Je lui parle doucement et pose ma main sur son front. Elle ferme les yeux un instant, les rouvre et penche la tête vers moi jusqu’à presque me toucher de la joue. Sri sourit et prononce quelques mots que Somkid, notre guide et traducteur, relaie: «On dirait bien que le courant passe entre vous!». Je souris tout en pensant: flatterie ou réalité?
La première commande, «Map Long!»(«Couché!»), ne donne rien. Somkid, gentiment moqueur, m’indique qu’il faut que l’intonation soit ferme, alors je réitère plus énergique, tout en donnant une petite tape sur le flanc de Phuang Peth, qui s’exécute. Un pied sur son genou, d’une main je lui saisis avec précaution l’oreille avant de lancer ma jambe par-dessus son dos. Pas facile quand on fait 1,60 m, mais faisable! Le reste ne sera que pur bonheur malgré un petit vertige passager. Slalom impeccable, marche arrière, marche avant, couché, debout. Tout bien! Nous voilà prêtes, Phuang Peth et moi, pour la balade. Je me cale sur son encolure, elle démarre d’un pas tranquille. Je ressens sa force, son plaisir aussi quand elle s’arrête par-ci par-là pour choper branchages et herbes hautes.
Parfois Sri et Vra, son acolyte perché sur la jeune Yuki, amusés de me voir si à l’aise avec l’éléphant, chuchotent et gloussent tandis qu’une commande de leur part fait galoper – à petite allure et sur 20 mètres à peine – les deux pachydermes. Les rires fusent, le soleil a perdu de son mordant, il fait doux, je me sens ultrazen mais je n’en oublie pas pour autant une mission que je m’étais fixée en regardant la vidéo du phajaan. J’étudie chaque centimètre de sa peau rugueuse: pas une trace, pas l’ombre d’une microblessure sur la belle Phuang Peth pour assombrir le tableau… Il semble bien qu’ici le fameux crochet de torture des mahouts soit devenu un simple principe de précaution…
Office de tourisme de Thaïlande (01.53.53.47.00 ; www.tourismethaifr.com). Formalités: pas de visa, passeport valable 6 mois après la date de retour. Meilleure saison: de novembre à mars, durant la saison fraîche (température douce, peu de pluies). Monnaie, le baht: 1 € = 35 THB. A emporter: un spray antimoustique puissant (type Insect Ecran ou Cinq Cinq). Guides: Lonely Planet (30 € et 21,99 € en version numérique) et, chez Gallimard, le Cartoville Bangkok (8,90 €).
Avec Thai Airways (01.55.68.80.00 ; www.thaiairways.fr) qui assure 7 liaisons Paris/Bangkok par semaine en vol direct et dessert 10 villes à l’intérieur du pays.
Asia (01.44.41.50.10 ; www.asia.fr) ,spécialiste du voyage sur mesure en Asie, propose un itinéraire de 9 jours/6 nuits combinant la découverte de Bangkok, (avec 2 nuits au Mandarin Oriental et 2 demi-journées d’excursions), l’itinéraire «Lanjia Experience» pour une immersion responsable dans le quotidien des communautés Hmong et Lahu, (une nuit au Lanjia Lodge en pension complète) et un séjour de 3 jours/3 nuits au Four Seasons Tented Camp Golden Triangle en pension complète avec programme d’activités. Prix au départ de Paris sur Thai Airways, transferts en véhicules privés inclus. A partir de 6 629 € par personne en chambre double.
Régulièrement classé parmi les plus beaux hôtels du monde depuis sa fondation en 1876, le mythique Mandarin Oriental Bangkok (00.66.2.659.9000 ; www.mandarinoriental.fr/bangkok) demeure une oasis incomparable dans une ville que les effets conjugués de la chaleur et des embouteillages rendent étourdissante. Eclaté d’une rive à l’autre du Chao Phraya, l’on y vient autant pour son excellent service que pour les suites Héritage du bâtiment historique (elles portent le nom des écrivains qui y ont séjourné: Somerset Maugham, Noel Coward, James Michener). Aujourd’hui cerné d’ailes plus modernes (l’hôtel compte 393 chambres et suites et, de ce côté du fleuve, trois de ses meilleures tables, le Normandie, le China House et le Lord Jim’s), le bâtiment originel abrite également le lounge des Auteurs où est servi l’afternoon tea dans une atmosphère délicieusement surannée. L’occasion de goûter aux pâtisseries maison (macarons notamment), réputées dans toute l’Asie. Spa, centre sportif (avec sentier de jogging), école de cuisine et centre culturel se trouvent sur l’autre rive, comme le Sala Rim Naam, connu pour son superbe dîner-spectacle (danses traditionnelles). Du petit déjeuner sur la Riverside Terrace au plongeon dans la piscine nichée dans sa bulle végétale, chaque moment se savoure ici pleinement. A portée de navette fluviale du marché nocturne Asiatique-The Riverfront et des sites incontournables: Wat Arun (temple de l’Aube), Wat Pho (le plus ancien de Bangkok, écrin du célèbre Bouddha couché), Grand Palais et Wat Phra Kaeo, etc. A partir de 345 €.
Créé en 2006 en même temps que la Golden Triangle Asian Elephant Foundation, le Four Seasons Tented Camp Golden Triangle ( 00.66.2.207.8900 ; www.fourseasons.com) partage avec elle et son autre partenaire hôtelier (l’Anantara) un territoire boisé de plus de 80 hectares le long de la rivière Ruak. 15 luxueuses tentes sur pilotis décorées dans l’esprit des expéditions du XIXe, avec minibar, baignoire sur pieds en cuivre martelé, douche extérieure, vaste terrasse aménagée (on peut même s’y faire masser). Cave à vins richement dotée (des dîners dégustation y sont proposés), potager bio, cours de cuisine thaï, spa suspendu dans la jungle comme le Burma Bar, et piscine. A partir de 2 033 € la nuit pour un séjour de 3 nuits. En pension complète, incluant: une demi-journée d’initiation au travail de mahout, un trekking à dos d’éléphant, l’excursion dans le Triangle d’or (Chiang Saen, Mae Sai, incursion birmane à Tachilek et visite du Hall of Opium à Sop Ruak), un soin/personne au spa, les transferts de et vers l’aéroport de Chiang Rai. A noter, jusqu’au 30 septembre: pour 3 nuits payées au Tented Camp, 2 nuits offertes dans les Four Seasons de Chiang Mai ou de Koh Samui.
Ainsi nomme-t-on les minorités ethniques (Akha, Hmong, Karen, Lahu, Lisu et Yao) qui peuplent les montagnes du nord de la Thaïlande… Erigé en 2008 à flanc de colline, le Lanjia Lodge (www.asian-oasis.com) accueille les voyageurs en quête d’authenticité dans 4 grandes et confortables maisons traditionnelles de 4 chambres (avec salle de douche privative) aux toits de chaume sur pilotis à côté du village Hmong de Kiw Kran. Rencontre avec le chamane, initiation aux techniques du batik, balade au milieu des plantations jusqu’au village Lahu voisin, dîner au son des chants anciens sont au programme du séjour. L’adresse emploie 14 villageois. On y prend ses repas (savoureuse cuisine locale) sur une vaste terrasse dominant la vallée, le Mékong et les montagnes du Laos en toile de fond. 98 € par personne en pension complète avec activités.
Outre la Golden Triangle Asian Elephant Foundation (www.helpingelephants.org) ,d’autres organisations effectuent un travail remarquable pour la protection des éléphants d’Asie. Parmi les plus anciennes et reconnues: la fondation Aane Mane (www.aanemane.org) ,créée en Inde par Prajna Chowta, l’Elephant Nature Park (www.elephantnaturepark.org) ,fondé en 1996 près de Chiang Mai par la très méritante Lek, originaire d’un village tribal, et Elephant Family (www.elephantfamily.org) ,une ONG britannique qui œuvre dans toute l’Asie. A suivre également, l’évolution du projet Elephant Haven (www.elephanthaven.com), qui devrait accueillir en 2016 ses premiers pachydermes à la retraite dans une vaste prairie de 25 hectares à… Oradour-sur-Vayres en Haute-Vienne!
alain du 77
le
tres bonne initiative. dommage qu’elle ne soit pas davantage généralisée, et encore plus vrai en Afrique
2546749 (profil non modéré)
le
Laissons les éléphants dans leur vie sauvage
Manu31415
le
A suivre en ce moment la marche de 600 km au Laos pour la protection des éléphants d’Asie: http://www.theelephantcaravan.org/fr
L’Italien vient de franchir le cap du million de passagers transportés, seulement un an après son arrivée sur l’axe Paris-Lyon-Milan. Et cette offre nouvelle profite déjà aux voyageurs puisque le prix moyen des billets a baissé de 8%.
Une grotte aux dimensions spectaculaires, une cascade pétrifiante, un lac émeraude, des parois vertigineuses et un sommet mythique qui tutoie les 3 000 mètres d’altitude… En marche vers l’Ariège !
De la Basse à la Haute-Normandie, le littoral s’étend sur 600 kilomètres : immenses plages de sable fin le long de la Côte fleurie, falaises à pic sur la Côte d’albâtre, côte rocheuse et sauvage vers La Hague… Autant de paysages à admirer depuis les plus beaux hôtels normands avec vue sur la mer.
À tout moment, vous pouvez modifier vos choix via le bouton “paramétrer les cookies” en bas de page.
Rencontre interactive avec les éléphants en Thaïlande
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