Publié le 4 novembre 2021 à 12h00
©Airbus
La compagnie aérienne Air France a augmenté son programme de vols vers les Etats-Unis, cet hiver, la réouverture des frontières américaines étant fixée au 8 novembre pour les voyageurs vaccinés.
Durant la saison hiver 2021/2022, la compagnie nationale française va « augmenter graduellement ses capacités » afin d’accompagner la reprise du trafic transatlantique : d’ici à la fin mars 2022, Air France prévoit de revenir à une offre correspondant à environ 90% de celle de 2019, contre 50% à l’été 2021. A compter de lundi prochain, les voyageurs internationaux vaccinés – dont les citoyens européens – pourront à nouveau se rendre aux Etats-Unis. L’annonce de la levée des restrictions de voyage en place depuis plus de 18 mois a donné lieu selon un communiqué d’Air France « à une augmentation significative des réservations, particulièrement sur les lignes vers New York, Miami et Los Angeles, pour des voyages en novembre et lors des fêtes de fin d’année ».
Cette offre en hausse passera notamment par l’ajout de fréquences sur certaines destinations, comme New York (passage de 3 à 5 vols quotidiens), Miami (passage de 7 à 12 vols par semaine) ou Los Angeles (passage de 12 à 17 vols par semaine). Sur cette période, Air France rouvrira également la liaison entre sa base à Paris-CDG et l’aéroport de Seattle, suspendue depuis le début de la pandémie de Covid-19 (3 vols par semaine à compter du 6 décembre). Elle reprendra son itinéraire habituel pour la liaison Paris – Papeete, via Los Angeles (3 vols par semaine entre Los Angeles et Papeete à compter du 11 novembre 2021), et elle inaugurera une nouvelle liaison entre Pointe-à-Pitre et New York-JFK (2 vols par semaine à compter du 24 novembre 2021).
Cet hiver, la compagnie de l’alliance SkyTeam desservira donc 11 destinations aux Etats-Unis : New York JFK – première escale internationale de la compagnie, Boston, Washington DC, Détroit, Atlanta, Chicago, Miami, Houston, Seattle, San Francisco, Los Angeles, avec jusqu’à 122 vols par semaine.
De/vers Paris-Charles de Gaulle :
De/vers Pointe-à-Pitre (Guadeloupe) :
De/vers Papeete (Polynésie française) :
Ce programme de vols est susceptible d’évoluer en fonction des restrictions de voyage. Avant tout déplacement, Air France invite ses clients à vérifier les conditions d’entrée et les documents requis à l’arrivée à destination. Pour en savoir plus, rendez-vous sur le site airfrance.traveldoc.aero.
Air France rappelle que dans le cadre de sa politique commerciale, la compagnie propose actuellement des billets 100% modifiables pour des voyages jusqu’au 31 mars 2022. Les clients peuvent ainsi modifier leur réservation sans frais, ou obtenir un avoir remboursable s’ils ne souhaitent plus voyager.
Modification : possibilité de modifier la date et/ou la destination de votre billet quelles que soient les conditions tarifaires de votre billet jusqu’au jour du départ du 1er vol.  Si le prix du nouveau billet est plus élevé, la différence tarifaire restera à la charge du client.
Remboursement : possibilité de demander le remboursement du billet jusqu’au jour du départ du 1er vol. Si les conditions tarifaires de votre billet n’autorisaient pas un remboursement, un avoir valable un an sera délivré, dont le remboursement pourra être demandé à tout moment.
©Air France
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4 novembre 2021 – 16 h 45 min

S’il y a bien une destination où AIR FRANCE pouvait vanter l’A380, c’est aux États-Unis (et le Mexique) et donc marquer la différence avec ses concurrents.
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4 novembre 2021 – 18 h 20 min

Il me semble que AF a déjà marqué «  sa différence avec ses concurrents « , et ce pendant de très nombreuses années ( avant Covid) , soit en perdant annuellement des sommes abyssales quand les autres gagnaient de l’argent, soit en gagnant trois sacs de peanuts les bonnes années quand les autres allaient voir leurs banquiers avec des brouettes pleines…
Même pour 2021 Trimestre 3, AFKLM a réussi de marquer une grosse différence avec LH: -192 millions de pertes à la dernière ligne de son bilan pour AF contre -72 millions pour LH , soit 2,5 fois plus pour AF: Halte à la différence !
Il est grand temps que AF rentre dans le rang et cesse de marquer sa différence si c’est ça le résultat final…
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5 novembre 2021 – 11 h 52 min

Quel ramassis de faussetés !
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5 novembre 2021 – 12 h 57 min

Eh bien donnez nous vos vrais chiffres et la réalité des faits… À vous de jouer!
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6 novembre 2021 – 2 h 31 min

Les bilans sont à analyser. Il ne suffit pas de regarder que la dernière ligne.
Personnellement, je trouve qu’AF s’en sort très bien vu le nombre d’A350 réceptionné en pleine crise.
“soit en perdant annuellement des sommes abyssales quand les autres gagnaient de l’argent, soit en gagnant trois sacs de peanuts les bonnes années quand les autres allaient voir leurs banquiers avec des brouettes pleines”
Avez-vous fait la comparaison fiscale ? Vu le commentaire, je dirais que non.
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6 novembre 2021 – 9 h 27 min

Il me semble que vous avez la mémoire courte: reportez vous aux bilans AFKLM et concours européennes des 15 dernières années, ça vous aidera à vous souvenir!
Quant aux bilans AFKLM, je baigne dedans depuis de nombreuses années, et effectivement, AF s’en sort plutôt bien au T3/2021. Voire par beaucoup d’aspects opérationnels, beaucoup mieux que ses grands voisins ( % d’offerts par rapport à l’année dernière meme période, offre de réseau, taux de remplissage, recette unitaire…)
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6 novembre 2021 – 9 h 28 min

Merci de lire: …” et consoeurs européennes…”
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4 novembre 2021 – 18 h 49 min

Oui mais si mettre des A350 ou 787 ou 777, bien plus fiables que le 380 fait gagner plus d’argent, faut-il s’entêter?
Il faut savoir: AF doit tout faire pour gagner de l’argent et rembourser ses prêts? Ou alors ne rien faire, ne rien gagner, ne rien rembourser et mettre la clef sous la porte?
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4 novembre 2021 – 19 h 32 min

PLUS QUE 5 VOLS SUR CHICAGO !!!
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4 novembre 2021 – 20 h 49 min

5 vols par semaine en B777-300ER..
J’ai connu Chicago en 7/semaine, mais en A340-300 plus petits que le 777-300 ER, puis le même Chicago en 5/semaine en A3330-200 encore moins capacitaire…
Dans les années ‘90, Chicago c’était 4/semaine en B767-300 hérites de la fusion AF-UTA car Aeromar d’où venaient ces B767 appartenait à UTA.
Avant ces B767, Chicago c’était en 5/semaine en B747 Combi: donc question offre en sièges, c’était pas mieux..
En gros, Chicago a toujours été une escale «  commercialement difficile » pour AF, ce n’est pas dans son aire d’influence et n’est pas non plus le hub d’aucun partenaire de AF, alors que c’est l’un des hubs majeurs de United ( Star Alliance) et de American ( OneWorld)…
Au fil des ans, AF a réussi à maintenir ses positions , – ce qui peut être est déjà pas mal-, mais n’a pas réussi à les améliorer, ce que l’on peut regretter
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