Consulter
le journal
Go Sport, déjà en difficulté, contraint par sa maison-mère à lui racheter Gap
Microsoft prêt à investir jusqu’à 10 milliards de dollars dans OpenAI, spécialiste de l’intelligence artificielle « générative »
Matières premières : « Le chou-fleur n’a pas la grosse tête »
Energie : « Ceux qui prônent le nucléaire comme seul vecteur susceptible d’un mix énergétique décarboné se trompent doublement »
Comment des appareils de surveillance de Frontex sont utilisés par les garde-côtes libyens pour intercepter des migrants
Brésil : les images de l’insurrection pro-Bolsonaro
Les images d’une série de tempêtes meurtrières en Californie
Le résumé vidéo de 2022 en sept minutes
Au Pérou, stopper la spirale de la violence
La « pulsion de mort » a cent ans et, pendant la pandémie de Covid-19, elle se porte bien…
La difficile quête de la paix juste
« Avatar » : « Les aventures de la saga fournissent des matériaux pour l’anthropologie, science des changements de perspectives »
« Avatar » : « Les aventures de la saga fournissent des matériaux pour l’anthropologie, science des changements de perspectives »
Lauren Groff : « Je tâtonne à la recherche de quelque chose d’ineffable »
« Paradis blancs » sur France 2, expéditions sous l’objectif de Jérémie Villet
Photo : l’incroyable odyssée d’Erwin Blumenfeld
La clairette-de-die cherche ses fans
Tourisme industriel : cinq endroits étonnants à visiter
Dans le désert australien, les ermites de l’opale
Laurie Peret, humoriste : « Avec ma fille en ce moment, on s’entraîne à pleurer sur commande »
Services Le Monde
Services partenaires
Service Codes Promo
Suppléments partenaires
Quatre autres personnes sont portées disparues après qu’un avion de la compagnie Air Moorea s’est abîmé en mer, entre ces deux îles de la Polynésie française, jeudi.
Le Monde avec AFP et Reuters
Temps de Lecture 1 min.
Seize personnes sont mortes et quatre autres sont portées disparues, après qu'un avion de la compagnie Air Moorea s'est abîmé en mer au large de l'île de Moorea, en Polynésie française, jeudi 9 août vers midi, heure locale (minuit à Paris).
L'accident est survenu quelques secondes après le décollage, pour une raison encore inconnue. Dix-neuf passagers et le pilote avaient pris place dans l'appareil de type Twin Otter qui devait rallier Tahiti, un vol qui ne prend d'ordinaire guère plus de sept minutes, les deux îles étant distantes de 17 km. “L'avion a semble-t-il eu des difficultés à s'élever, raconte un témoin, employé à l'aéroport de Moorea. Puis il a plongé et on a entendu le bruit d'une explosion.” L'appareil était exploité par la compagnie depuis un an et avait passé une visite de contrôle le 18 juillet.
CHRISTIAN ESTROSI ATTENDU SUR PLACE
Les seize corps repêchés par plusieurs équipes de plongeurs ont été regroupés dans une chapelle ardente dans une salle omnisport de Moorea. Les opérations de recherche pour retrouver les autres passagers ont depuis été suspendues pour la nuit. Une porte-parole de la compagnie Air Moorea, filiale d'Air Tahiti, a cependant déclaré qu'il était peu probable qu'il y ait des survivants. Cinq membres du ministère polynésien de l'environnement étaient à bord de l'avion, avec deux hauts fonctionnaires de la Commission européenne. Deux ressortissants américains et cinq habitants de Moorea figurent également parmi les victimes.
Le président de la Polynésie francaise, Gaston Ton Sang, qui s'est immédiatement rendu sur place et a survolé les lieux de la catastrophe, a évoqué un “deuil cruel pour la Polynésie comme pour son gouvernement”. Dans un communiqué, la ministre de l'intérieur, de l'outre-mer et des collectivités locales, Michèle Alliot-Marie, a quant à elle “fait part à toutes les familles touchées par ce drame de ses sincères condoléances et de son soutien attristé”. Christian Estrosi, secrétaire d'Etat chargé de l'outre-mer, doit se rendre sur place.
Une équipe du Bureau d'enquêtes et d'analyses pour la sécurité de l'aviation civile (BEA) doit également partir vendredi pour Papeete pour mener une enquête technique afin de déterminer les causes de l'accident.
Le Monde avec AFP et Reuters
Voir les contributions
Édition du jour
Daté du lundi 16 janvier
Lecture du Monde en cours sur un autre appareil.
Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois
Ce message s’affichera sur l’autre appareil.
Parce qu’une autre personne (ou vous) est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil.
Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois (ordinateur, téléphone ou tablette).
Comment ne plus voir ce message ?
En cliquant sur «  » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte.
Que se passera-t-il si vous continuez à lire ici ?
Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Ce dernier restera connecté avec ce compte.
Y a-t-il d’autres limites ?
Non. Vous pouvez vous connecter avec votre compte sur autant d’appareils que vous le souhaitez, mais en les utilisant à des moments différents.
Vous ignorez qui est l’autre personne ?
Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe.
Lecture restreinte
Votre abonnement n’autorise pas la lecture de cet article
Pour plus d’informations, merci de contacter notre service commercial.
Newsletters du monde
Applications Mobiles
Abonnement
Suivez Le Monde

source

Catégorisé: