Le Amuitahiraa déjà dans les starting blocks des territoriales. Le programme est ficelé. Les listes des 8 sections aussi. Et depuis Hier soir, le candidat en tête est désigné. Bruno Sandras, dont le nom circulait depuis quelques mois, portera les couleurs du parti/de l’équipe. “J’ai la chance d’avoir un joueur qui n’est peut-être pas sur la feuille de match, mais qui a une expérience incroyable. Tous ceux qui nous gouvernent aujourd’hui ont été formés pour ne pas dire créés par lui, la plupart. Ce joueur-là, Gaston Flosse, est à nos côtés”, se réjouit Bruno Sandras.
Au Tapura, le mercato n’est pas terminé. L’ancien maire de Papara, Putai Taae, revient dans le parti, après avoir passé 2 mois et demi au Tavini. Le parti majoritaire présentera officiellement sa liste lors de son congrès de janvier. Mais déjà la parité semble être l’enjeu. “Je reste une élue modeste parce que je suis parlementaire aujourd’huii, vu les dernières élections il faut aussi assurer la continuité du travail à Paris. Mais cela n’empêche pas à un parlementaire d’être tête de liste d’une liste aux prochaines territoriales”, explique la sénatrice Lana Tetuanui.
A here ia Porinetia vient de terminer 2 mois de tournée dans les archipels. Laquelle servira de base pour rédiger le programme du tout nouveau parti. Les candidats pour les territoriales seront officiellement présentés lors de son congrès de février. “C’est beaucoup de gestion, de ressources humaines dans chaque équipe, et surtout que nous avons décidé de demander aux équipes communales de nous soumettre des candidatures pour la liste”, précise Nicole Sanquer.
Dernier-né autonomiste : le parti créé par Nicole Bouteau et Teva Rohfritsch. Cet après-midi vers 17h30, ils se sont réunis à huis clos à Mamao afin d’officialiser en présence de quelques sympathisants. Selon nos informations, le parti devrait s’appeler Ia ora te Nunaa. “Nous nous sommes engagés auprès de nos soutiens, membres fondateurs, de ne pas convier les médias pour leur assurer l’anonymat”. Présentation publique prévue lundi prochain.
Territoriales 2023 : le clan autonomiste part divisé, mais se veut organisé
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