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La victime présumée a déposé une plainte le 26 juillet pour des faits qui se seraient déroulés en avril.
Temps de lecture : 2 min
Quatre fonctionnaires des douanes de Polynésie française ont été mis en examen, mercredi soir à Tahiti, pour des faits présumés de viol aggravé sur une de leurs collègues, mais ont été laissés libres sous contrôle judiciaire, a-t-on appris de source judiciaire. Le parquet de Papeete avait réclamé leur placement en détention provisoire. Quatre autres de leurs collègues ont été mis en examen pour non-assistance à personne en danger et non-dénonciation de crime. Eux aussi ont été laissés libres sous contrôle judiciaire.
La justice soupçonne les quatre premiers de “viol en réunion et de sévices”, a déclaré à l’AFP un magistrat du parquet de Papeete. La victime présumée a déposé une plainte le 26 juillet pour des faits qui se seraient déroulés en avril à bord de l’Arafenua, un patrouilleur des douanes au large de Tahiti. Selon Le Point.fr, seule membre d’équipage femme, elle a dit avoir été attachée à une chaise, puis violée avec des bouteilles de bière par les quatre agents qui ont fait irruption dans sa cabine. Le commandant du bâtiment aurait cautionné les agissements de ses subordonnés.
Des accusations que rejette l’avocat de ce dernier, qui représente également les intérêts de deux gradés : “Ils n’étaient absolument pas informés de quoi que ce soit. Ils ne peuvent pas comprendre qu’on leur reproche de n’avoir rien fait”, a expliqué à l’AFP Me James Lau. Me Stanley Cross, avocat d’un autre agent mis en cause, qualifie les accusations de la plaignante de “mensonges complets” : “C’est inadmissible et scandaleux que l’on puisse accorder du crédit aux propos d’une personne qui attend plus de deux mois pour venir porter plainte.”
La jeune femme avait, par le passé, fait part à ses supérieurs de “graves difficultés” relationnelles qu’elle rencontrait avec ses collègues, a indiqué mardi la direction régionale des douanes en Polynésie dans un communiqué. La hiérarchie ajoutait “soutenir l’agente présumée victime dans les épreuves qu’elle endure”. En mars, six douaniers en poste à l’aéroport international de Tahiti-Faa’a ont été mis en examen pour concussion (fait pour un fonctionnaire de ne pas payer des droits dus) et complicité d’importation illicite de marchandises fortement taxées. Le 20 juillet, un autre agent a connu le même sort, mais pour proxénétisme aggravé. Il est suspecté d’avoir prostitué des mineures.
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