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Le langage des signes pour éviter aux enfants de mordre, taper ou griffer… Leur permettre de s’exprimer avec des gestes, quand la parole leur fait défaut… La gestion de la petite enfance n’est pas chose facile. “Ce sont des enfants qui ont un déjà historique intense et les adultes sont plutôt démunis face à cela, même si ce sont des professionnels“, décrit Sarah Tiare Aline, la présidente de l’association “Parents autrement à Tahiti”.
Des activités sont organisées dans un cadre sécurisant. L’équipe est composée de taties, d’une animatrice, d’une éducatrice, d’une infirmière et bien sûr, de bénévoles.
Un avenir incertain 
L’association et le foyer travaillent en étroite collaboration avec la direction des familles et des solidarités, pour tenter d’offrir à ces enfants une vie plus douce, et surtout la plus normale possible.
 “Ce sont des enfants qui ne peuvent pas rester dans leur famille d’origine pour diverses raisons. (…) La DSFE nous emmène les enfants au foyer en urgence et trouve des solutions pour qu’ils puissent ensuite en sortir“, explique Téthys Aubonnet, directrice du foyer.
Dès 3 ans, l’enfant peut changer de foyer. Mais il peut aussi rejoindre sa vraie famille si la situation s’est améliorée, ou une famille d’accueil. Certains peuvent même être adoptés avec le consentement de leurs parents. 19 salariés travaillent au foyer pour s’occuper des 12 enfants qui y sont accueillis. 

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Te aho o te here : un foyer d'urgence pour les enfants de 0 à 3 ans
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